Chez FWU, nous mettons un point d'honneur à ce que le risque auquel sont exposés nos clients soit en parfaite adéquation avec leur Modèle de risque, pendant toute la durée de leur investissement. 
Pourquoi ? D'une part, nous sommes pleinement conscients que la plupart des gens ne bénéficient pas d'une allocation optimale de leur investissement, autrement dit d'un Modèle de risque qui leur correspond, d'autre part, nous voulons leur offrir une gestion simplifiée. Ainsi, Forward Quant est doté d'une méthode d'allocation des actifs "automatique", qui nous permet de garantir une composition de portefeuille adaptée, entre actions et obligations, selon l'évolution des besoins de nos clients. Notre objectif : que l'investissement devienne le plus simple possible !

Une étude publiée récemment par la banque suisse UBS a révélé que la génération Y, soit les personnes âgées entre 20 et 35 ans, détient 65 % de liquidités ou de titres à revenu fixe. Or, cette répartition du patrimoine n'est pas adaptée pour quelqu'un qui commence sa vie active et qui entre dans une phase dite d'accumulation. Pendant cette phase, les investisseurs peuvent se permettre de prendre plus de risques compte tenu des nombreuses années de revenus à venir. Par conséquent, pendant cette période, leur argent devrait être largement investi dans des actions, ce qui est le cas lors de la première phase d'investissement de Forward Quant, avec une allocation majoritaire en bourse.

S'il est vrai que les actions peuvent être volatiles à court terme, sur des périodes plus longues, elles ont toujours généré un rendement positif - environ 10 % par an. De plus, le MSCI World, un indice boursier "mondial",  n'a jamais enregistré de rendement négatif sur une période de 15 ans. La raison en est très simple : en investissant dans des entreprises mondiales, on soutient l'économie mondiale. Et tant que l'économie mondiale continuera de croître - comme elle l'a fait malgré d'innombrables crises et conflits – ce soutien prendra de la valeur.
En définitive, pour les jeunes qui ont beaucoup d'années d'épargne et de potentiel de revenu devant eux, une exposition importante au marché est davantage justifiée que de ne pas investir en bourse.

Lorsque la fin du contrat approche, et que le client a besoin de récupérer le capital investi, la situation commence à changer. Comme nous l'avons mentionné plus haut, à court terme, le marché boursier peut être un endroit précaire. Par exemple, il aurait été regrettable de prendre sa retraite ou de voir son contrat expirer en 2008 alors qu'il était pleinement investi sur le marché boursier.
C'est précisément pour cette raison que nous voulons que nos clients s'orientent vers une sécurisation de l'épargne à l'approche de la fin du contrat, en investissant plus largement dans les fonds à revenu fixe et sur le marché monétaire.